Dream Theater
Metroplis
pt. 2 - Scenes from a memory
Elektra Ent.
Act 1
1 - Regression
2 - Overture 1928
3 - Strange deja vu
4 - Through my words
5 - Fatal tragedy
6 - Beyond this life
7 - Through her eyes
Act 2 :
8
- Home
9 - The dance of eternity
10 - One last time
11 - The spirit carries on
12 - Finally free
Durée
: 77:12
L' histoire :
Nicholas,
obsédé par des cauchemars et des scènes
d'un événement qu'il semble avoir vécu,
se rend chez un hypnotérapeute pour une séance
d'hypnose dans le but de trouver des explications. Dans son subconscient,
il rencontre Victoria, Jeune femme assassinée en 1928
par son amant, Julian "the Sleeper" Baynes, qui par
la suite c'est lui-même donné la mort.
Il finit par découvrir, à travers les yeux de Victoria
que c'est le frère de Julian, le sénateur Edward
Baynes, dit "The Miracle" qui a tué son frère
par jalousie, ainsi que victoria présente sur la scène
du drame, et a fait croire à cette histoire de suicide
en fabriquant un faux témoignage.
Chnonique
du disque :
Après
un "Fail into Infinity" un peu trop volontairement
orienté radios, le groupe c'est probablement rendu compte
que ce n'était pas sur ce terrain que les fans attendaient
Dream Theater.
Alors voici le "Metropolis Pt2 - Scenes from a memory",
concept-album en 2 actes produit par J. Petrucci et M.
Portnoy, de plus de 77 minutes ou le groupe retrouve toute
sa richesse musicale, associée à un concept accessible
mais néanmoins mystérieux, comportant beaucoup
de zones d'ombres.
Beaucoup
de nouvelles influences plus marquées qu'auparavant sont
apparues, comme l'ombre de Pink Floyd planant sur certains
titres, particulièrement sur les passages calmes. L'arrivée
de Jordan Rudess n'a pas révolutionné la
musique du groupe et se fait plutôt discret, mais on notera
une teinte similaire à Liquid Tension Experiment
sur les passages instrumentaux. La guitare de John Petrucci
se fond un peu dans la musique du groupe dont la structure repose
comme jamais sur les épaules de l'inévitable Mike
Portnoy dont le jeu n'a jamais été aussi mis
en avant et le batteur fait preuve ici d'une inventivité
encore accrue. Le chant de James Labrie, plus pondéré
qu'avant, ce qui est assez regrettable, fait passer néanmoins
efficacement les émotions presque palpables qu'eprouvent
les différents personnages de l'histoire.
Le
moment fort est sans aucun doute la première partie de
l'acte 2 avec "Home" qui reprend beaucoup d'
éléments du "Metropolis pt 1",
l' instrumental "The Dance of Eternity" et "One
Last Time". "Home" sortira en single
: un titre heavy et inspiré, reflètant tout de
même mieux le génie créatif de Dream Theater
que les ballades à la "Hollow Years"...
"Scenes
From a Memory", est un disque consistant, varié
et passionnant. Il mérite de nombreuses écoutes
attentives pour qu'il livre tous ses secrets, et conforte Dream
Theater dans sa position de "groupe culte" du Metal
Progressif.
Titre favoris : Home
Le groupe
:
James Labrie : chant
John Petrucci : guitares
Mike Portnoy : batterie
Jordan Rudess : claviers
John Myung : basse
Discographie
:
When dream
and days unite (1989)
Images and
words (1992)
Awake (1994)
A change of
seasons (1995)
Fall into
infinity (1997)
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